Blood's Imperfections
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 Alexander Christopher Strampford [FINI]

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Alexander Strampford
Elève de Ravenclaw 7e Année
Alexander Strampford


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Date d'inscription : 03/01/2009

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MessageSujet: Alexander Christopher Strampford [FINI]   Alexander Christopher Strampford [FINI] EmptySam 3 Jan - 16:24

I. IDENTIFICATION

    Nom : Strampford
    Prénom : Alexander Christopher. Ce deuxième prénom serait celui de son père biologique d’après sa mère. C’est elle qui a tenu à ce que son fils le porte bien qu’au début elle voulait que ce soit son unique prénom. Mais Thomas, son père adoptif ne l’entendait pas de cette oreille ayant toujours rêvé d’appeler son premier fils Alexander, nom de son grand-père mort au front en héros. Ils optèrent donc finalement pour un compromis. Il s’appellerait Alexander avec pour deuxième prénom Christopher. Et puis, avoir deux noms ça fait bien d’après le père ce qui n’est pas tout à fait du goût du jeune intéressé qui trouve que cela fait trop « bourge ». Ainsi préfère-t-il Alexander tout court, et Alex lui suffit même amplement.
    Âge : 17 ans
    Origine Sanguine : Apparemment moldue mais peut-être mêlée. Explication, sa mère est moldue, son père adoptif l’est aussi. C’est son père biologique qui pose problème. En effet, sa mère à toujours pensé qu’il avait quelque chose de bizarre, mais de là à dire que c’est un sorcier…Du mois c’est ce qu’elle disait avant, maintenant ses souvenirs ne sont plus là pour en témoigner. Le mystère reste donc entier, cependant, d’après les recherches effectuées par le jeune sorcier, il semblerait que de nombreux mystère entour ce père inconnu et il ne serait pas impossible que la magie y soit pour beaucoup. D’où l’incertitude.
    Année Scolaire : 7ème année
    Date de Naissance : 11 mai 1979
    Lieu de Naissance : Berlin
    Résidence : Un vieux manoir aux environs du mythique du Loch Ness en Ecosse sert de résidence à ce qui reste de la famille.
    Baguette Magique : Achetée au grand Olivander, elle mesure 22,2cm et fut fabriquée à partir du bois souple de cerisier et contient un nerf de cœur de dragon. D’après son vendeur, elle serait parfaite pour des sorts de précisions et très pratique pour les sortilèges et enchantements.
    Animal de Compagnie : Voler à toujours fasciné Alexander, quel magnifique sentiment doit-être celui de planer au dessus du monde au grès des courants. C’est sans doute pour cela qu’il à depuis toujours aimé adopter des oiseaux plus que des chats ou des chiens. A son entrée à Poudlard, le jeune sorcier décida de prendre avec lui un Grand duc au plumage de jais et aux yeux émeraude qu’il baptisa Ness. Même si il n’avait personne de particulier à qui envoyer de lettre, il préfère partager ses heures de solitudes avec un oiseau plutôt qu’avec un chat ou un crapaud.
    Forme du Patronus : Depuis sa 6ème année, le jeune sorcier s’entraîne le plus possible pour parvenir à former plus qu’une simple brume argentée avec sa baguette magique. Pourquoi ? Car il a entendu quelque part que le Patronus était une sorte de reflet de l’âme, une expression matérielle de celle-ci. Et, à force de travail acharné, il a vu avec plaisir ses efforts récompensés lorsque part une belle soirée de printemps, sorti de sa baguette un magnifique aigle royal argenté qui ne tarda pas à s’envoler aussi rapidement qu’il était venu laissant le jeune homme dans un bien-être immense. Cependant, il sait qu’en cas de réel danger cette mince forme ne le protégera pas beaucoup et, il est conscient qu’il à encore besoin de beaucoup de travail.

II. PSYCHOLOGIE & PHYSIQUE

    Caractère : Quand on grandit seul, on fait souvent de la solitude une amie. En tout cas, ce fût le cas pour Alexander. Malgré les années qui ont passées et les personnes charmantes qu’il à pût rencontrer, il a toujours un côté solitaire que certaine personnes ne comprennent pas. Il aime s’isoler, faire des choses seul au calme à penser. Car même si c’est une personne rêveuse, il n’en est pas moins intelligent et vif d’esprit. Mais n’allez pas croire qu’il est associable pour autant. Loin de là, au contraire, il n’hésite pas à aller vers les gens, leur parler, percer leurs personnalités et les divertir. Car l’une des plus grandes ambitions du jeune sorcier c’est de donner du rêve car, selon lui, le monde aurait oublié que le rêve nourrit notre imagination et est l’essence même de notre âme. C’est grâce à celui-ci que nous évoluons et fabriquons des choses plus performantes les unes que les autres. En effet, ne dit-on pas que les inventeurs sont des fous ? Or les fous rêves et de leur imagination débordante sort une invention miraculeuse. Cette fantaisie vient sans doute de l’attente dans laquelle il à toujours vécu. Il a toujours cru aux signes de la vie. Par exemple, s’il arrivait à faire cinq ricochets, son père serait au salon quand il rentrerait. L’espoir d’un petit enfant à nourrit son enfance et son âme.
    De nature calme, il ne montre que très rarement ses sentiments et, même s’il sait être doux et attentionné, il n’est pas partisan des grandes démonstrations de sentiments. Cependant, lorsqu’il s’énerve, il s’énerve et est capable là par contre de grandes ébullitions. Mais, de même que pour ses proches, il ne montre pas à ses ennemis la haine qu’il peut leur vouer, une haine qui peut se révéler sans borne car oui, Alex est un jeune garçon têtu. Ce masque impassible dont il ne se défait pas est une barrière qu’il à sût se forger au fil des déceptions et des trop longs absences de sa vie. Et, ce qu’il à appris tout au long de ces années, c’est qu’il ne faut pas s’attacher aux autres de même qu’il ne faut pas laisser les autres s’attacher à vous. Une morale à laquelle il tient énormément et qui rappelle sa solitude maladive. Cependant, derrière cette façade, le sorcier à un grand cœur émotif meurtri par ses parents envers qui il voue une aversion incroyable. Enfin c’est surtout au terme « parents » qu’il voue cette haine là. Une haine motivée par un chagrin méconnu d’eux et d’un manque d’attention de leur part.
    Alexander est une personne qui aime l’aventure et espère un jour prochain assouvir ce besoin d’émancipation en partant à la découverte du monde. Notamment, il veut retourner à Berlin, là où il vit le jour…De même, attiré par les beautés de la nature, il aime étudier et observer celle-ci ainsi que la photographier et, peut passer des heures à en parler avec la fantaisie qui lui est connue.
    Mais ce que lui ont apporté ses parents ce sont ses envies de révolutions et de libertés. Il à beau être calme et assez réfléchit, il lui arrive d’être impulsif et faire une chose insensé dans une démesure à la hauteur de sa fantaisie. Et lorsqu’il s’investi dans une cause, il y met tout son cœur même si les autres ne le voient pas forcément. La seule peur qui peut perturber son esprit c’est sans aucun doute de se retrouver enfermé, dans une dictature par exemple, privé de ses droits et surtout, de ses libertés auxquelles il est plus qu’attaché. Souvenir de la lutte de ses parents biologiques sans doute.


    Passions : Par dessus tout, Alexander aime la photographie. Pour lui c’est un art magique, une autre manière de voir le monde. Quand il était gamin, il pensait qu’une fois la photo prise, l’on pouvait apercevoir la vraie nature des choses. Cela vient du fait qu’il vient d’une famille moldue et les photos avaient besoin de suivre tout un parcourt dans la chambre rouge pour que les traits se dessines peu à peu sur le papier. Et ce sentiment ne l’a jamais quitté. Même après la découverte du monde magique et des photos vivantes. D’après lui, là encore, les éléments apparaissent dans leurs vraies natures et les portraits ne peuvent se cacher derrière un masque. Autre passion, moins marquée mais toute aussi présente dans l’esprit du jeune homme, l’écriture. Depuis tout gamin, il invente toute sorte de personnages et d’histoires farfelues. Il se créait ainsi des amis avec qui il pouvait discuter et vivre de fabuleuses aventures. Des histoires pour combler l’absence et l’oublie. Souvent, il mettait en relation les photos qu’il faisait et les histoires qu’il écrivait se formant ainsi un monde parallèle, un monde onirique où il s’évadait. Jamais personne encore n’a lu ces écrits qui continuent d’exister car, même avec l’âge, Alex n’a pas cessé d’écrire et, même si les histoires et les lieux ont changés, le besoin d’évasion et d’émancipation du jeune sorcier n’en transparait pas moins.

    Physique :Alexander est ce qu’on peut appeler un jeune homme bien battit. En effet, d’assez grande taille, il doit environner les 1m83, il n’en est pas moins costaud. Sa physionomie à quelque chose de carré qui doit lui venir de son père car sa mère était plus dans le style petite et fine. Cependant, il faut avouer que le jeune sorcier prend soin de son corps et sous sa robe de sorcier des muscles bien définis se cachent. Autant dire que sa carrure peut dissuader certaines personnes…Mais son visage, aussi carré soit-il, à un certain charme qui doit venir de ses fossettes et son sourire amical. Sans aucun doute les yeux verts hérités de sa mère ajoutent à son visage une certaine douceur. Quand à ses cheveux noirs, Alex aime les avoir ébouriffés et assez long. N’allez surtout pas croire qu’il est le garçon le plus séduisant qui exista, mais l’intelligence de son regard ne passe pas toujours inaperçu. En apparence, le jeune homme à plus un côté décontracté et sympathique qu’une allure antipathique de riches. Cependant, il n’est pas rare de voir briller dans ses yeux une pointe de mélancolie qui semble infinie.
    Particularité :Une enveloppe jaunie par les années et froissée d’avoir beaucoup voyagée ne quitte jamais le jeune homme. Que contient-elle ? Les derniers mots de sa mère et une photo de celle-ci. On la voit souriante, belle et heureuse dans les bras d’un jeune homme lui aussi souriant mais le regard sombre et quelques marques sur son visage montrent une certaine anxiété. La photo en noir et blanc, immobile sur un fond de chaos représente Marlyse et Christopher un beau jour de décembre, le 25 exactement. Ils ont alors dix-neuf ans et des idées de révolution en tête. Le profil arrondi de la jeune femme montre déjà l’heureux évènement qu’ils attendent. C’est la seule photo, la seule trace qu’Alex à de son père biologique. Autant dire que cette enveloppe ne la quitte jamais et qu’il en prend le plus grand soin.

III. HISTOIRE & CIE

    Famille : Dans la famille d’Alexander trois personnes tiennent une place importante, le reste ne se résume qu’en quelques mots.
    Commençons par Christopher, le père biologique d’Alexander. Ce dernier ne sait que peu de chose de lui, son nom de famille par exemple, lui est totalement inconnu et pour cause, il ne l’a jamais connu et d’ailleurs, peut-être est-il déjà mort depuis pas mal d’années…Pour faire simple, c’était un allemand de l’Est emprisonné en RDA sous l’autoritaire Grande Rouge. Il rencontra une jeune écossaise du non de Marlyse, la mère de notre jeune sorcier. Cette dernière était une moldue, cela est sûr. Cependant, Alexander ne peut en dire autant de son père biologique car sa mère ne fut que très peu en contact avec lui et, d’après elle, « il est vrai qu’il arrivait que des trucs bizarre se produisaient parfois » mais jamais elle ne voulut en dire plus et qu’aurait-elle pût dire de toute façon, elle ne savait même pas qu’un monde magique existait et puis, bientôt, elle n’en fût plus capable.
    Marlyse, jeune étudiante écossaise miraculeusement présente à Berlin tomba amoureuse d’un jeune berlinois du nom de Christopher. Un an plus tard, enceinte de cinq mois et quelques, elle passait à nouveau le mur pour retourner en RFA cette fois grâce à un stratagème mis au point avec des amis européens. L’une des rares à avoir réussie à passer vivante clandestinement le mur entre la liberté et la dictature. Christopher ne passa jamais.
    C’est alors que vient en scène Thomas, le jeune étudiant moldu écossais lui aussi. Il tombe rapidement sous le charme de la belle Marlyse et, malgré le petit bambin de deux ans qu’elle trimbale avec elle, il n’hésite pas à l’épouser en octobre 1981. Thomas est un jeune entrepreneur très prometteur qui très vite, arrive à faire fortune. Seulement, son travail l’oblige à voyager constamment aux quatre coins du monde laissant sa petite famille seule dans son manoir en Écosse. Et, lorsque sa femme mourut, il se fit plus absent que jamais noyant son chagrin dans le boulot. Car oui, Marlyse décéda dans l’oublie le plus totale d’elle-même, elle ne se souvenait même plus du nom de son fils…Ce dernier avait alors n’avait que neuf ans…

    Quand au reste de sa famille, les parents de Thomas le renièrent quand il épousa une femme ayant déjà un enfant d’un inconnu alors qu’elle n’était même pas mariée et, qui plus est, d’un allemand de l’Est, un « sale communiste ». Quand à la famille de Marlyse, cette dernière était fille unique, sa mère était morte jeune et son père mourut quand Alexander avait cinq ans.


IV. SCOLARITÉ

    Matière Préférée : Alexander à un goût prononcé pour l’histoire de la mgie mais, sa matière préférée s’il devait choisir, serait certainement les sortilèges et enchantements pour laquelle il est plutôt doué.
    Matière Déstestée : Il n’a aucune matière qui réponde à ce critère. Certes, il aime moins la métamorphose par exemple mais dire qu’il déteste serait beaucoup trop exagérer.
    Résultat des B.U.S.E :
    Sortilèges et enchantements : O
    Défense contre les forces du mal : O
    Astronomie : O
    Métamorphose : A
    Botanique : E
    Histoire de la magie : O
    Potions : O
    Soin aux créatures magiques : O
    Arithmancie : E

V. À VOUS MAINTENANT

    Pseudo : Bloobies Shocked
    Âge : 17 ans
    Code du Règlement : Validé by Bella.
    Célébrité sur l'Avatar : Emile Hirsh
    Taux de Connexion : le mercredi après-midi, le weekend et les vacances scolaires principalement.


Dernière édition par Alexander Strampford le Dim 4 Jan - 19:53, édité 1 fois
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Alexander Strampford
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MessageSujet: Re: Alexander Christopher Strampford [FINI]   Alexander Christopher Strampford [FINI] EmptyDim 4 Jan - 19:51

    Histoire :
    « Parce que mourir pour quelqu’un ou pour quelque chose d’accord, c’est dans l’ordre des choses ; il faut pourtant savoir ou, du moins, être certain que quelqu’un sache pour qui ou pour quoi on est mort »

    Pour bien comprendre l’histoire d’Alexander, il faut avant tout connaître celle de ses parents.
    Marlyse Junkyns, jeune étudiante en géopolitique étrangère quitta la maison familiale située à Cork en Ecosse en février 1977 pour se rendre à Berlin Ouest. Quoi de mieux pour étudier la situation de la RDA que de se rendre au plus près de celle-ci, de se rendre au cœur même de l’action ? Voilà pourquoi, cette jeune femme avec encore toute la vie devant elle en ce moi pluvieux de février se trouvait là, à quelques pas d’un mur infranchissable sous les regards froids et fichés des militaires. Et plus elle pensait aux gens derrières ces murs, aux corps morts, aux familles déchirées, et plus une rage montait en son petit cœur révolutionnaire.
    Au cour des deux mois qui suivirent son arrivée, la jeune étudiante écossaise rencontra plusieurs familles ainsi séparées, des amants perdus, des rescapés même de la « sale prison » comme ils la nommait parfois. Et peu à peu une idée folle naissait dans sa petite tête blonde.
    Il lui fallut pratiquement deux mois de plus pour arriver à la mettre en place. Elle passerait de l’autre côté. Au fond, ce n’était pas si dure à réaliser, en effet, son père était lui aussi un politicien il avait suffit de lui envoyer un laissez-passer pour aller soi-disant consulter un représentant russe occupé des affaires de Berlin Est.
    Il est inutile de s’attarder sur les jours et les semaines de préparations nécessaires à l’expédition qui ne devait pas dépasser trois semaines.
    Et, c’est le cœur battant et les yeux humides, que Marlyse, au début de juin 1977, se tenait debout, dos au mur, en démocratie populaire de l’Est.

    Quelques mois ont passé, l’automne est revenu avec ses journées grises et son froid de l’Est. Et Marlyse traine encore ses jolies boucles blondes dans les rues de la peur. Car ici, il ne passe pas une voiture sans que vous ne repériez quelques cachettes au cas où, que vous ne scrutiez les visages dans l’engin le plus discrètement possible. Pas un jour ne passe sans que vous ne soupçonniez votre voisin de donner chaque détail de votre vie aux autorités. Mais la jeune étudiante à décidé de rester dans cette ambiance lugubre de haine et de peur constante. Ses raisons ont un nom principalement, Christopher. Il s’agit d’un jeune berlinois, ils se sont rencontré dans un café une nuit, la dernière nuit qu’elle devait passer en terrain hostile. Une nuit à suffis à les réunir pour toujours. A réunir ce jeune homme de l’Est et cette étrangère de l’Ouest. Comment cela c’est passé ? Elle était assise à une table d’un café, lui, le lui apportait. Il a trébuché, elle c’est levée, il lui est tombé dans le bras. Jamais Marlyse n’oublia ce regard gris amusé qui la fixait, même lorsque tout autre chose tombait dans l’oublie de sa mémoire, ce regard perdurerait.

    A partir de cet instant, il ne fut plus question pour elle de partir, de partir seule. Très vite ils lièrent des liens plus forts que la tension et la suspicion. Mais de toute façon, ils n’avaient pas le temps, ils couraient points en l’air vers leur destin sans même le savoir mais en le présentant quand même. Rares étaient les personnes de confiances, les collaborateurs se fondaient dans la population d’une telle manière que les repérer signifiait en faire parti.

    Le couple, car oui, les deux jeunes gens ne tardèrent pas à s’avouer leur passion, vivait une vie où chaque seconde est une improvisation totale, une seule peut changer à jamais le cours de votre vie et le faire basculer. Près d’un an s’écoula de cette vie menée par une peur constante et un désir de liberté de plus en plus pressant. Il tardait à Marlyse de retrouver ces libertés qui lui étaient si chères tout comme à Christopher pour qui cet enfer devenait de plus en plus contraignant. Il ne supportait plus les contrôles en pleine nuit, les bonds dans une ruelle sombre à chaque convoi de militaire. Un an pendant lequel ils montèrent lentement mais surement, un stratagème pour échapper à l’étau rouge. Mais, un évènement inattendu vint tout chambouler. Quand, en septembre 1978 Marlyse se rendit compte qu’elle portait en elle la vie, il ne fut plus question de tenter une telle échappée.

    Pourtant, les plans changèrent une fois de plus. Un de leur ami disparu mystérieusement une nuit affreuse de cauchemar dans des hurlements de chiens et d’hommes et des crissements de pneus. Ils n’étaient plus en sécurité, ce que Christopher redoutait semblait désormais réel, quelqu’un les surveillaient et, au prochain faux pas, lui et sa petite famille risquaient des disparaître à jamais…
    La tension monta d’un cran, malgré la peur et les risques, ils reprirent leur machination pour passer le mur vers la liberté.

    30 Avril 1978, le grand jour approche à grand pas. Tous les préparatifs sont faits, l’anxiété est à son comble dans le petit deux pièces où le couple loge. Dans trois jours, ils tenteront la plus grosse action perpétrée contre le régime en place, s’évader.
    Marlyse, enceinte jusqu’aux yeux, serre avec force la main de Christopher dans son sommeil. Lui ne dort pas, il la regarde, il sait que c’est sans doute la dernière fois qu’il la verra. Au fond, il s’en veut de lui avoir menti, il sait que par sa faute elle souffrira comme jamais elle n’aura souffert mais il se doit de le faire, pour leur enfant.

    La nuit tombe peu à peu sur Berlin, les sentinelles allument les torches et dans les brans de son amour, Marlyse verse quelques larmes la gorge nouée. Christopher lui murmure une dernière fois ses sentiments à son égard et la pousse doucement dans la voiture. Il referme la portière avec un sourire qui se veut rassurant et dit à travers la portière :


    -On se revoit de l’autre côté !

    Au fond il ne ment pas, ils se retrouveront de l’autre côté, dans un autre monde, là haut. Il sait que lui ne passera pas, une voiture oui, mais deux cela devient suspect. Avec un pincement au cœur il regarde s’éloigner la moitié de son être une larme coule le long de sa joue alors que les phares sont engloutis par le mur, il semblerait qu’elle ait réussit à passer…Puis, lentement, il fait demi-tour et rentre chez lui. Demain il sera parti et les militaires viendront en leur chez eux n’aura plus rien de douillet. Après avoir prit quelques affaires le jeune homme aux cheveux noirs descend dans une ruelle sombre, au même moment au coin de la rue un agent avance vers lui. Christopher sort un objet long et fin de sa poche, il le caresse doucement alors qu’au bout de la ruelle la lumière se rapproche. Avec un rapide mouvement de poigné, le jeune homme semble faire un signe de lumière blanche, un triste sourire effleure ses lèvres salées. L’agent aperçoit une silhouette dans la rue, un sourire carnassier se peint sur son visage alors qu’il sort son arme et s’avance l’air menaçant. Christopher soupire alors qu’un bruit sec retenti dans la ruelle.

    ♦️♦️♦️♦️♦️♦️♦️

    « L’amour aussi à son automne pour celui qui à oublié le goût de l’autre »


    Marlyse, le regard perdu, regarde la pluie tomber par la fenêtre. Elle porte une belle robe noire d’une grande marque et pourtant hésite encore à se rendre à cette réception. Cela fait deux ans qu’elle c’est écroulée de chagrin quand elle réalisa qu’il ne viendra plus la serrer dans ses bras. Une larme coula le long de sa joue, ce soir elle deviendrait une personne adulte. Il lui faudrait oublier ses espoirs de voir son sourire sous la fenêtre. Demain elle retournait en Ecosse avec Alexander Christopher. D’ailleurs les deux beaux grands yeux verts de celui-ci la regardent avec un sourire dont seul les jeunes enfants sont capables et qui, immédiatement vous font craquer et sourire béatement.
    La porte s’ouvre soudain sur Thomas, un jeune homme très bien fait et prometteur qui l’a aidé à faire la promotion de son livre qui raconte l’histoire d’un jeune adolescent allemand enchaîné par un fléau rouge. Ce soir, elle va lui dire oui.

    ♦️♦️♦️♦️♦️♦️♦️


    « Le chant des sirènes du vide vous fait vaciller »


    L’air sifflait à ses oreilles et son cris de perdait dans les alentours déserts. Et qui aurait pu venir à son secours à part un oiseau ? Même si au début, il appréciait cette occasion unique de voler, ses yeux d’enfants apercevaient la terre qui se rapprochait de plus en plus or lui n’avait pas d’ailes pour remonter. Son cœur de trois et demi commençait à avoir peu, vraiment peur et des larmes coulaient abondantes sur ses joues blanches. Il ferma les yeux, attendant l’impacte entendant pendant un court instant une voix masculine qui lui était inconnue. Mais, soudain, il senti sa chute ralentir, son corps semblait soudain obéir à une loi autre que celle de l’apesanteur et il fini par atterrir mollement sur le sable chaud en contrebas. Sans comprendre ce qui lui était arrivé, le petit garçon courut aussi vite que le pouvait ses petites jambes vers le manoir familiale là, il fût bien-sûr incapable de se faire comprendre et sa mère pensa simplement à une mauvaise chute en voyant les larmes sur ses joues roses. Elle ne savait pas, et ne pouvais savoir qu’Alexander venait de montrer les premiers signes de magie, et elle ne le saurait jamais vraiment…

    ♦️♦️♦️♦️♦️♦️♦️

    « On ne devrait pas nier que la liberté de mouvement nous à toujours exaltés. Dans notre esprit, nous l’associons à la fuite devant l’histoire, l’oppression, la loi et les obligations irritantes, nous l’associons à la liberté absolue »


    Alexander courait serrant contre sa poitrine de gamin de sept ans une mouette dont l’aile droite semblait avoir subis quelques dommages. Il s’arrêta soudain net devant sa maison alors que son jeune cœur eut un raté.

    -MAMAN !


    Entendant son fils l’appeler, Marlyse s’arrêta, le regarda, lui sourit doucement avec un signe de la main avant de repasser derrière la balustrade du balcon et de retourner dans sa chambre le plus naturellement du monde.

    ♦️♦️♦️♦️♦️♦️♦️

    « Elle était sur la terre pour saisir la signification de son enchantement sauvage et pour appeler chaque chose par son nom véritable »


    Cinq ricochets ! Alexander sauta de joie un grand sourire sur le visage.


    *Ce soir papa sera à la maison*

    Ramassant l’appareil photo, le jeune garçon se dirigea vers une petite bute de terre qui surplombait le loch. Il s’installa confortablement et regarda les eaux tranquilles du lac un sourire radieux sur le visage.

    *Ce soir *

    Se calant sur ses coudes, le jeune garçon observa à travers le rond de verre le monde autour de lui. Il aperçut soudain une mouette qui descendait en piqué vers la surface du loch – par la suite il devait toujours avoir cette image là en tête quand il observerait des joueurs de Quidditch descendre à toute vitesse vers le sol. Attendant la dernière seconde, il appuya sur le déclencheur de l’appareil photo immortalisant l’instant où elle surgissait dans un éclaboussement d’eau un poison argenté frétillent dans le bec.

    De retour chez lui, il déposa sa pellicule pleine dans la chambre rouge pressé de développer ses photos. En attendant que les images soient prêtent il se dirigea vers la cuisine et se tartina une biscotte avec du miel et, en passant par le salon, il embrassa sa mère et lui demanda si elle avait passée une bonne journée. Cette dernière le regarda avec un sourire enfantin ses beaux cheveux blonds décoiffés et du rouge à lèvres au dessus des yeux.


    -Oh ! Quel charmant petit garçon es-tu ! Ta mère doit-être fière de toi !


    Retournant s’isoler dans la chambre rouge, la chambre où les masques tombe, un pincement au cœur, Alexander entreprit de faire sécher ses photos et se mit à rêver avec elles. Soudain, un point attira l’attention du jeune garçon sur la dernière photo, celle de la mouette et du poison. Un sourire malicieux se dessina sur son visage. Il se dirigea vers une étagère où des centaines d’albums photos traînaient, il en sorti un à la couverture bleuté. Il contenait toutes les photos où le jeune garçon pensait avoir réussit à capturer Ness, le monstre marin dont parlaient les légendes.

    Le soir arrivé, Alexander écrivait dans son lit sa petite lampe de chevet allumée. Tout à l’heure lui était venu l’idée d’un personnage pour sa nouvelle petite histoire, une mouette qu’il appellerait Skip. A chaque bruit dans la maison l’enfant retenait son souffle le cœur battant jusqu’à ce qu’il finisse par s’endormir dans une dernière pensée.


    *Papa rentrera ce soir*

    Le jour pointait à travers les volets du jeune Alexander quand il ouvrit les yeux. Lentement, très lentement, il tourna la tête vers sa lampe de chevet. La déception qui transparut sur son visage alors ne faisait même plus couler de larme tellement il avait l’habitude de celle-ci. Le rayonnement que produisait l’ampoule électrique signifiait clairement qu’il n’était pas revenu…Cela faisait deux mois maintenant, deux mois qu’il était parti pour un pays inconnu. Deux mois sans nouvelles. En tout et pour tout, Thomas ne dût voir de la vie de son fils adoptif que quelques mois, une année peut-être et encore. Une année en onze ans.

    ♦️♦️♦️♦️♦️♦️♦️

    « La mort est une fière alouette des prairies »


    Le corps souriant de Marlyse reposait tranquillement dans ses draps blancs. Son esprit malade venait de rendre ses dernières armes dans les bras de son enfant et de son mari, parfait inconnu pour elle à présent. Elle ne verrait jamais l’Allemagne réunifiée, elle ne verrait le mur tomber, elle ne verrait l’aboutissement de ce pour quoi elle c’était battue étant jeune et sans doute mourrait aujourd’hui. Certains médecins disaient que son traumatisme avait dût atteindre son cerveau. Perdre son âme sœur laisse forcément des séquelles. Elle ne découvrirait jamais qu’il existait un monde à part, un monde auquel son fils appartenait.

    Alexander avait neuf ans lorsqu’il enterra sa mère. Son père reparti trois jours après, toujours plus loin, toujours plus longtemps. Le jeune garçon retourna à l’école, solitaire il n’arrivait pas à se faire d’amis ceux-ci le trouvait trop « bizarre », il faut dire, les seules fois où quelqu’un lui chercha des noises, il se retrouva coincé dans le panier de basket sans que l’on sache comment.
    Le jeune garçon retourna donc à ses lubies, écrivant toujours plus d’histoire fantaisistes où les sorciers prenaient de plus en plus une place importante tous sous forme d’animaux bien-sûr. Son plus fidèle ami était Twiky, l’aigle qu’il avait inventé il y a plusieurs années de cela et que l’on retrouvait de manière récurrente dans ses histoires.
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MessageSujet: Re: Alexander Christopher Strampford [FINI]   Alexander Christopher Strampford [FINI] EmptyDim 4 Jan - 19:51


    ♦️♦️♦️♦️♦️♦️♦️

    « Oh ! Comme on souhaite parfois échapper à l’absurde monotonie de l’éloquence humaine »


    Jamais de sa vie Alexander n’avait vu de grand duc d’aussi près. Jamais il n’en avait caressé et à présent celui-ci lui tendait une patte son regard ambre posé sur lui. Une lettre nouée autour de celle-ci portait son nom. Tremblant et intrigué, le jeune garçon de onze l’attrapa. Cela ne pouvait provenir de son père, celui-ci avait manqué ces deux derniers anniversaires et il n’utilisait pas pareils moyens pour le contacter. On aurait dit Firs, le grand duc échappé de son cahier noir.

    La lettre était écrite d’une belle écriture en encre verte et le sceau à la cire représentait une étrange armoiries. Qui pouvait bien lui écrire de cette façon ?
    Le papier contenu dans l’enveloppe ne manquait pas de surprise non plus, du vieux parchemin avec des mots étranges comme « sorcellerie », « école », « inscrit », « Poudlard », « Voix 9 ¾ ». Plus ses yeux verts parcouraient les lignes, plus un immense sourire s'étalait sur son visage. Il était un sorcier, il l’avait toujours sût, il était différent ! Et par-dessus tout, il existait bien un monde au-delà des apparences.

    La lettre qui le destinait à un avenir surprenant établissait une liste de fournitures à acheter or, le jeune garçon n’avait pas la moindre idée d’où pouvait-on trouver des chaudrons, des livres sur les sortilèges et enchantements et encore moins de baguette magique. Quand à demander à son père…Il ne savait même pas comment le contacter, du moins pas personnellement, seul son secrétaire particulier lui répondait à chaque fois. Cependant conscient qu’il ne pouvait laisser passer une telle chance, Alexander pensa renvoyer une lettre expliquant la situation dans laquelle il se trouvait. S’empressant de ce saisir d’une feuille et d’un crayon, le jeune garçon composa une lettre au niveau que ses onze ans lui permettaient qu’il finit par attacher du mieux qu’il le pouvait autour de la patte du volatile qui, après avoir réclamé un morceau de pain s’envola par la fenêtre de l’internat masculin d’où il était venu.


    ♦️♦️♦️♦️♦️♦️♦️

    « Celui lui était plus cher que sa famille, plus délicieux qu’un amant, plus instructif qu’un livre. Pendant un moment, elle redécouvrit le but de sa vie »


    Debout devant la porte de son manoir, Alexander attendait la venue d’un homme qui devait le conduire à l’endroit où il pourrait établir sa valise comme l’avait certifiée la lettre de réponse qu’il avait ressue quelque semaines auparavant. Le mois de juin était déjà bien entamé et les grandes vacances lui avaient permis de regagner la solitude du Loch.
    L’homme en question ne tarda pas à venir à sa rencontre, un grand monsieur en robe grise, premier sorcier qu’Alex rencontrait.

    Le chemin de traverse sur lequel il se trouvait à présent représentait tout ce dont il n’avait jamais osé rêver. Des boutiques par centaines toutes plus folles les unes que les autres, des chapeaux pointus partout, des mots étranges, des créatures inconnues et d’étranges noms. La banque fût l’endroit le plus impressionnant de tous, une salle immense remplies de petites créatures à l’air pas très commodes et des vers gravés à l’entrée dissuasifs.

    Quelques heures plus tard, des galions et des noises en poches, des livres aux couvertures écailleuses, un chaudron, des robes et autres accessoires magiques indispensables, Alexander était épuisé, émerveillé certes, mais épuisé. Ainsi, lorsque le sorcier lui annonça qu’il leur restait une dernière chose à voir, le jeune garçon ne pût s’empêcher de faire une petite moue mais suivis son guide sans un mot. Et il ne regretta pas. Lorsqu’il senti fourmilier dans tout son bras puis tout son corps un délicieux courant magique qui venait de la baguette magique qu’il tenait entre ses doigts, un immense sourire éclaira son visage d’enfant.

    *Je suis un sorcier !*


    ♦️♦️♦️♦️♦️♦️♦️

    « Un grand feu, des traces dans la neige indiqueraient le chemin que j’avais pris. Que le reste de l’humanité me retrouve, s’il le pouvait »


    Son chariot plein, il regardait étrangement la colonne de pierre dans laquelle toute une famille venait de disparaître. Ce devait être ça le portail magique qui menait à la voie 9 ¾, celle dont lui avait parlé le sorcier. Inspirant un grand coup, le jeune sorcier fonça tête baissé les yeux grands ouverts affrontant le danger et déboula au même rythme sur le quai d’un magnifique train rouge tout fumant. Bien mieux que n’importe quels trains de fer moches qui circulaient de l’autre côté de la barrière.

    Ainsi commençait la vie de sorcier du jeune Alexander. Il réussit à se trouver une place dans un wagon pour un monde à part. A partir de ce moment il trouvait un endroit où il serait toujours bien et accueilli chaleureusement, il trouverait des gens qui l’attendraient et qui s’inquièteraient de ne pas le voir rentrer. La première nuit qu’il passa dans son lit en baldaquin, il pensa à sa mère, à ce qu’elle aurait dit. Sans doute l’aurait-elle accompagnée sur ce chemin de traverse, sans doute aurait-elle été parmi toutes ces mères sur le quai agitant leurs mouchoirs à leurs enfants que le train emportait. Son père lui ne s’avait pas vraiment où il allait, quand Alex lui avait expliqué qui il était, et où il allait Thomas n’avait rien dit, il n’avait rien comprit encore une fois croyant un délire de son fils et pensait qu’il allait juste dans une école qu’il avait lui-même choisi. Pas de quoi s’inquiéter.

    ♦️♦️♦️♦️♦️♦️♦️

    « Les noms griffés des villes n’avaient plus d’autres histoires à raconter que celle de l’absence »


    C’est au cours de sa deuxième année, au moi de décembre, qu’Alexander apprit la nouvelle. Son père avait expiré à Berlin, le laissant seul héritier de toute sa fortune. Dire que le jeune sorcier n’en éprouva aucune peine serait mentir. Cela ne fit que le renforcer un peu plus derrière sa devise, ne dépendre de personne et ne laisser personne dépendre de soi. Plusieurs fois il fit l’erreur de trop s’attacher à quelqu’un au cours de ses années à Poudlard, les filles sont cruelles…
    Aujourd’hui il entame sa septième et dernière année à la prestigieuse école de sorcellerie. Il connaît à peu près tout du monde magique, difficile de savoir que ses parents étaient moldus. Il connaît même ce terme pour désigner ceux qui n’ont pas de pouvoirs magiques. Il a découvert que les photos pouvaient parler et bouger et il ne sursaute plus à chaque fois qu’un portait fait une réflexion comme ce fut le cas lors de sa première année. Oui, au début, il était sujet aux moqueries de ses camarades, cela aussi lui permis de se forger une carapace. Dire qu’aujourd’hui il n’aurait pas aimé avoir plus de temps avec son père adoptif serait faux, cependant il ne peut s’empêcher de le vouer une triste haine même maintenant qu’il à rejoint sa pauvre mère. Depuis sa sixième année, son besoin d’identité lui fit chercher ses véritables origines et son père biologique. La Dame Grise, fantôme de Poudlard, lui dit un jour qu’il ressemblait fortement à un élève de Serdaigle qu’elle avait connu et d’autres éléments étranges lui laissent penser que, peut-être, Christopher, aurait été un sorcier. Ces recherches lui ont données une passion qui combine ce qu’il à toujours aimé faire, écrire et photographier. Il sera journaliste reporter.
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Bella E. Grey
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MessageSujet: Re: Alexander Christopher Strampford [FINI]   Alexander Christopher Strampford [FINI] EmptyMar 6 Jan - 13:33

    Bienvenue et désolé pour le retard. M'enfin, comme on dit : mieux vaut tard que jamais, n'est-ce pas ? Enfin bref...

  • Code Bon & Validé.
  • Super Fiche, Validée.
  • Bienvenue chez les Serdaigles.

    Voilà. N'oublie pas de te rendre dans le sujet du rescencement afin de le signer & je te souhaite un bon jeu parmi nous Wink.

    Validée & Verrouillée.
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